Cartes Blanches

Quand des gens super balèzes jouent à être journalistes pour Standard.

Bertrand Burgalat

Bertrand Burgalat

Carte blanche Musique « On ne sait jamais ce que le passé nous réserve. » Françoise Sagan par Bertrand Burgalat en avril 2011 dans Standard n°35 Non satisfait de publier via son label esthète Tricatel le désosseur de claviers Chassol et la diva en simili-queer Jef Barbara, Bertrand Burgalat associe ici chaque chanson de son nouvel album Toutes Directions à une photo-souvenir, légendée d'un extrait de ses paroles. Le disque, lui, est une nouvelle déambulation onirique lisant les lignes de la main invisible dans les…
Bertrand Burgalat
Théâtre : Carte Blanche à Hubert Colas

Carte Blanche à Hubert Colas

Carte Blanche théâtre La mémoire de l’été pour parler du choc Par Hubert Colas, en janvier 2012 dans Standard n°34 On ne voit pas simplement un spectacle avec les yeux. Le spectacle est aussi à côté de vous. Avec ceux qui comme vous se livrent, le regardant, au désir d’être attrapé par ce qui se déroule. Et il y a la mémoire. Saisissement improbable à communiquer tant l’instant est furtif et présent, et d’un coup sans aucune pensée à l’esprit, l’action agit sur…
Carte Blanche à Hubert Colas
Livres : Carte Blanche à Tristan Garcia

Tristan Garcia

Carte blanche littérature Pour comprendre le capitalisme US, volez JR ! par Tristan Garcia en janvier 2012 dans Standard n°34 A 17 ans, JR était mon roman préféré de tous les temps. J’avais aimé Les Reconnaissances du New-Yorkais William Gaddis (1922-1998), mais son JR était différent ; c’était mon livre, la réalisation idéale de ce que j’attendais de la littérature : de l’oralité (tout le livre, qui compte mille pages, est dialogué), un portrait déformé mais fidèle de la réalité économique et politique, des péripéties picaresques,…
Tristan Garcia
Mode : Carte blanche à Eley Kishimoto

Eley Kishimoto

Carte blanche mode (Sans titre) par Eley Kishimoto en janvier 2012 dans Standard n°34 Wakako Kishimoto et Mark Eley, le couple londonien d’Eley Kishimoto nous offre un avant-goût de leur dégaine urbaine pour l’été : décontractée et colorée, fidèle aux imprimés ludiques qu’on leur connaît. A suivre aussi : un casque WeSC et la présentation de leur collection à partir de jeudi et jusqu'au 6 mars à la galerie Jeanroch Dard à Paris.
Eley Kishimoto
Carte blanche : Pacôme Thiellement

Pacôme Thiellement

Carte blanche médias Choron, chef de guerre par Pacôme Thiellement en janvier 2012 dans Standard n°34 On sait à peu près tous à quoi pouvait ressembler une apparition du professeur Choron. Ce qu’on sait moins, c’est le basculement provoqué par ses deux faces, tel Charlie Chaplin : « dedans » et « dehors ». Sans sa moustache, personne ne reconnaissait Chaplin (passant incognito son propre concours de sosies, il est arrivé troisième). Croisé dans la rue des Trois-Portes, en début d’après-midi, avant de passer le…
Pacôme Thiellement
Juliette Binoche

Juliette Binoche

Carte blanche cinéma Créer, brûler, contempler par Juliette Binoche en janvier 2012 dans Standard n°34 Je ne me suis jamais considérée comme cinéphile. Regarder trois films par jour ? L’excès de consommation culturelle est insupportable. Le plus important, c’est d’être créateur, pas de regarder les créations des autres, j’en suis sûre. L’œuvre d’un autre peut vous transmettre une étincelle, mais il faut créer, se brûler, verticalement. Je vais peu au cinéma parce que je suis trop occupée par mes propres créations, j’ai une vie trop…
Juliette Binoche
BREF

Carte blanche Kyan de BREF

Carte blanche médias Pour capter la télé d’aujourd’hui, relisons Cyrano par Bref, en octobre 2011 dans Standard n° 33. Toute l’équipe de Bref a accroché dans sa chambre la tirade des « non merci » de Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand. Elle parlait déjà en 1897 de la télé. A ce moment de la pièce, l’un des amis de Cyrano lui dit qu’il écrit bien et que s’il fermait un peu son âme de mousquetaire, très indépendante, il vivrait probablement de gloire et de fortune. Voilà ce…
Carte blanche Kyan de BREF
Nicolas Winding Refn

Nicolas Winding Refn

Carte blanche cinéma Tout ce qui m’a marqué la rétine par Nicolas Winding Refn en octobre 2011 dans Standard n° 33 Mon premier contact avec le cinéma, c’est un meurtre. J’avais 4, 5 ans et mon père regardait Nashville de Robert Altman (1975) : je suis arrivé à la fin, quand le type tue la fille sur scène. Le second, c’est tout de suite après : avec ma mère, j’ai vu Fat City de John Huston (1972), une histoire de boxeurs déboussolés. Puis j’ai quitté…
Nicolas Winding Refn
Mélissa Theuriau

Mélissa Theuriau

Carte blanche Médias « Il n'y a pas de problème humanitaire à Gaza » par Mélissa Theuriau en juillet 2010 dans Standard n°28 A la différence des médias anglo-saxons, nos grands médias français, nous ont donné à lire, à voir ou à entendre début juin que la situation humanitaire à Gaza n'avait rien d'exceptionnel. Qu'elle était « stable ». Un constat qui entrait en écho avec le discours officiel israélien, lequel discours était pourtant souvent contesté par la presse israélienne, le quotidien libéral Haaretz au premier chef. Même constat…
Mélissa Theuriau
Joakim

Joakim

Carte blanche Musique Roman photo par Joakim en juillet 2011 dans Standard n°32
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